
Un texte de Pierre Feuga
Il y en a qui yamaniyamisent du matin au soir et il y en a qui se fichent des yama-niyama. Il y en a qui occupent une heure de yoga avec trois postures et il y en a qui enchaînent soixante postures à la demi-heure. Il y en a qui inspirent de bas en haut et il y en a qui inspirent de haut en bas. Il y en a qui se dopent au kapâlabhâti et il y en a qui, au bout de cinq respirations, prennent un air de héros fatigué. Il y en a qui méditent à l’aube, d’autres le soir, certains to